todos diferentes, certo? Todos a mesma espécie, certo? Todos descendentes de um mesmo homem/mulher negros que sairam de Africa há alguns milhões de anos, certo? Todos diferentes, ainda certo? Todos o mesmo, sem dúvida, e com genes partilhados, todos!
a um revolucionário
#
El ojo que ves no es ojo porque tú lo veas; es ojo porque te ve#, um aforismo de Antonio Machado.
Só tontos continuam a usar essas nomenclaturas.
Lisboa fica a pouco mais de 600 kms de Madrid. Entre o Porto e Faro são 550. Diz-nos o sábio Costa Silva que aviões só para mais de 1000 Kms, o que quer dizer que temos, além da redução absoluta que vivemos uma redução de cerca de 20% dos voos nacionais.
Para quê, para quê mesmo um novo Aeroporto? Já haverá dinheiros a correr por alguns bolsos eis para quê!
Já li um quinto deste livro interessante, mas que desde começou logo por me desiludir.... então não é que considera o mitológico Viriato um herói da Espanha. Para um livro que pretende desmontar mitos e lendas, efabulações da História não podia começar melhor, com o inventado Viriato, conforme qualquer historiador decente lhe teria confirmado. E até com o requinte de contar o dito após a sua mitológica morte....
A inventada Dama de Elche já é bem rodada....
Começa uma semana que pode, a vários níveis, ser decisiva. Outras haverá....
Telefonemas, preparação de reuniões, arrumar tralhas e .... leituras....
Começo este que já folheei. Desenho adequados e uma guionista com muito traquejo.
Ficarei certamente enubilado:
Mão amiga (obrgs P.C.R.) envia-me um repositório de Camus:
Lettre d’Albert CAMUS à Éric ZEMMOUR et autres injustes
Il me faut écrire comme il me faut nager, parce que mon corps l’exige(1), parce que l’habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même.(2)
Chaque
génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne
sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais ma tâche est peut-être plus
grande. Elle
consiste à empêcher que le monde ne se défasse.(3)
Il
n'y a pas de vie sans dialogue, et sur la plus grande partie du monde,
le dialogue est aujourd'hui remplacé par la polémique, langage de
l'efficacité. Le XXI siècle
est, chez nous, le siècle de la polémique et de l'insulte. Elle tient,
entre les nations et les individus, la place que tenait
traditionnellement le discours réfléchi.
Mais
quel est le mécanisme de la polémique ? Elle consiste à considérer
l'adversaire en ennemi, à le simplifier par conséquent, et à refuser de
le voir.Celui que j'insulte,
je ne connais plus la couleur de son regard. Grâce à la polémique, nous
ne vivons plus dans un monde d'hommes, mais dans un monde de
silhouettes.(4) Ce qui me semble caractériser le mieux cette époque, c'est la séparation(5), la défiance et l’hostilité
envers celui qui n’est pas un autre vous.
Or, je
ne crois qu'aux différences, non à l'uniformité. Parce
que les premières sont les racines sans lesquelles l'arbre de liberté,
la sève de la création et de la civilisation, se dessèchent.(6) Loin d’être le seul, nous étouffons parmi les gens qui croient avoir absolument raison dans leurs idées. Et pour tous
ceux qui ne peuvent vivre que dans le dialogue et l'amitié des hommes, ce silence est la fin du monde.(7)
On
ne décide pas de la vérité d'une pensée selon qu'elle est à droite ou à
gauche et encore moins selon ce que la droite et la gauche décident
d’en faire. Si la vérité
me paraissait à l’extrême-droite, j’y serais(8), mais gardons bien à l’esprit que nous finissons toujours par avoir le visage de nos vérités.(9)
La
logique du révolté est de vouloir servir la justice pour ne pas ajouter
à l'injustice de la condition.(10) Et je ne peux m'empêcher d'être tiré
du côté de ceux,
quels qu'ils soient, qu'on humilie et qu'on abaisse. Ceux-là ont besoin
d'espérer, et si tout se tait, ou si on leur donne à choisir entre deux
sortes d'humiliation, les voilà pour toujours désespérés et nous avec
eux. Il me semble qu'on ne peut supporter
cette idée, et celui qui ne peut la supporter ne peut non plus
s'endormir dans sa tour. Non par vertu, mais par une sorte d'intolérance
quasi organique, qu'on éprouve ou qu'on n'éprouve pas. J'en vois, pour
ma part, beaucoup qui ne l'éprouvent pas, mais je
ne peux envier leur sommeil.(11)
Je fus pour ma part placé
à mi-distance de la misère et du soleil. La misère m'empêcha de croire
que tout est bien sous le soleil et dans l'histoire ; le soleil
m'apprit que l'histoire n'est pas tout.(12)
L’injustice
sépare, la honte, la douleur, le mal qu’on fait aux autres, le crime
séparent. Tout homme est un criminel qui s’ignore, mais il y a quelque chose
de plus abject encore que d’être un criminel, c’est de forcer au crime celui qui n’est pas fait pour lui.(13)
La
démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de
la minorité.(14) Vous avez cru que tout pouvait se mettre en chiffres et
en formules ! Mais
dans votre belle nomenclature, vous avez oublié la rose sauvage, les
signes du ciel, les visages d'été, les instants du déchirement et la
colère des hommes ! Ne riez pas. Ne riez pas, imbécile.(15)
L'amitié est la science des hommes libres. Et il n’y a pas de liberté sans intelligence et sans compréhension réciproques.(16) Mais la liberté est également un
bagne aussi longtemps qu’un seul homme est asservi. J'ai compris qu'il
ne suffisait pas de dénoncer l'injustice, qu’il fallait donner sa vie
pour la combattre.(17)
Notre
tâche est de trouver les quelques formules qui apaiseront l'angoisse
infinie des âmes libres. Nous avons à recoudre ce qui est déchiré, à
rendre la justice imaginable
dans un monde si évidemment injuste. Naturellement, c’est une tâche
surhumaine, mais on appelle surhumaines les tâches que les hommes
mettent du temps à accomplir, voilà tout.(18)
J’essaie, pour ma part, solitaire
ou non, de faire mon métier. Et si je le trouve parfois dur, c’est
qu’il s’exerce principalement dans l’assez affreuse société
où nous vivons, où l’on se fait un point d’honneur de la déloyauté, où
le réflexe a remplacé la réflexion, où l’on pense à coup de slogans et
où la méchanceté essaie trop souvent de se faire passer pour
l’intelligence.
Si un journal est la conscience d’une nation, un média
peut en être l’inconscience et vous en êtes l’illustration, le funeste symbole. C’est en retardant ses conclusions, surtout lorsqu’elles lui paraissent évidentes, qu’un penseur progresse, mais l’époque veut aller vite et la bêtise insiste toujours.(19)
Par un curieux renversement propre à notre temps, le crime se pare ainsi des dépouilles de l'innocence, et c’est l’innocent, victime du condamné récidiviste, qui est sommé de fournir ses justifications.(20)
Je
ne suis pas de ces serviteurs de la justice qui pensent qu’on ne sert
bien la justice qu’en vouant plusieurs générations à l’injustice. Sans
liberté vraie, et sans
un certain honneur, je ne puis vivre.(21)
La
liberté est le droit de ne pas mentir(22). Elle est aussi la chance de
devenir meilleur, quand la servitude de la pensée est la certitude de
devenir pire.
Le bacille du fascisme ne
meurt, ni ne disparaît jamais,
resté pendant des dizaines d'années endormi dans les meubles et le
linge, attendant patiemment dans les chambres, les caves, les malles,
les mouchoirs et les paperasses.(23) Il mue, prend diverses formes, mais sa noirceur reste intacte. Vos réquisitoires
quotidiens, obsessionnels et venimeux en sont la triste incarnation.
Vous et vos comparses, êtes un beau crépuscule, ce mensonge
qui met chaque objet en valeur, quand la vérité, comme la lumière, aveugle.(24)
Je n’ignore rien de ce qui attend ceux que l’époque qualifie de ringards et de bien-pensants. Chaque
fois qu'une voix libre s'essaie à dire, sans prétention, ce qu'elle
pense, une armée de chiens de garde de tout poil et de toute couleur
aboie furieusement pour couvrir son écho.(25)
Mais la paix est la seule bataille qui vaille d’être menée(26) et sur la terre de l’injustice, l’opprimé prend sa plume, telle une arme, au nom de la
justice.(27)
Au fond de chaque homme civilisé se tapit un petit homme de l'âge de pierre, qui réclame à grands cris un oeil pour un œil(28). Mais les gens sont aussi des
miracles qui s’ignorent(29) et je crois au soleil même quand il ne brille pas.
Qui ne donne rien n’a rien et le plus grand malheur n’est pas de ne pas être aimé mais de ne pas aimer(30).
Le contraire d’un humaniste, étant trop souvent un homme sans amour(31), puissiez-vous découvrir au milieu de votre hiver, un invincible été(32), pour
aimer, donner, transmettre, enfin, autre chose que la peste.
Extraits choisis et texte construit par Sofia SOULA-MICHAL
(1) Carnets I (1935-1942)
(2) La Peste (1947)
(3) Discours de Stockholm (10 décembre 1957)
(4) Le Témoin de la Liberté (1948 Conférences et discours)
(5) Carnets II (1942-1951)
(6) Discours l’Appel pour une trêve civile en Algérie (22 janvier 1956)
(7) Le siècle de la peur (Combat, 1948)
(8) Lettre au Directeur des Temps modernes (30 juin 1952)
(9) Le mythe de Sisyphe (1942)
(10) L’homme révolté (1951)
(11) L’artiste et son temps (Actuelles II 1948-1953) . . .
(12) L’Envers et l’endroit (1937)
(13) Les Justes (1952)
(14) Carnets III (1935-1942)
(15) L’État de siège (1948)
(16) Discours « Défense de l’intelligence » (1945)
(17) Les Justes (1942)
(18) Les Amandiers (l’Été, 1954)
(19) La Peste (1947)
(20) L’Homme révolté (1951)
(21) Discours prononcé devant des réfugiés espagnols (22 janvier 1958)
(22) Servitudes de la haine (Actuelles II, 1948-1953)
(23) La Peste (1947)
(24) La Chute (1956)
(25) Démocratie et modestie (Combat, 1947)
(26) Éditorial pour Combat (8 août 1945)
(27) Les raisons de l'adversaire (l'Express 28 octobre 1955)
1-Os vírus tem, talvez, a sua principal fonte de contaminação na, pela língua. A pandemia do medo, estimulada pela histeria mediática (o telejornal da SIC de ontem era aterrador, e sem o mínimo de trabalho jornalístico e de investigação, como aliás quase sempre!), mas vivemos submersos pela redução da língua (ver as tripinhas cheias de erros grosseiros, nos ditos!) e por certas palavras que marteladas fazem os discursos e dão forma ás lógicas políticas de que são serventuárias.
Este livro de um grande humanista e filólogo, com uma história pessoal que é uma grandiosa aventura escalpeliza e descobre-nos tantas vezes distraídos que andamos a forma como os discursos se impõem em superestruturas e manipulam as consciências de forma inconscientemente perversa, mas ao serviço de poderes reais.
Um livro de 410 páginas que esmiuçalha o que já havia lido numa excelente biografia sua.
Victor Klemperer um homem universal, que nos leva a uma leitura empolgante da forma como uma estilização da língua domina e exerce o poder. Quantas vezes, não somos massacrados por cassetes ... que hoje são vir[s] lentas.....
Aqui, outra leitura, nesta linha: https://www.theguardian.com/books/2020/jul/13/culture-in-the-third-reich-by-moritz-follmer-review-when-fascism-stole-the-show
2- Sou, todavia, surpreendido com um fabuloso capítulo XXIX, sobre Sion, que também me remete para o " As Origens do Totalitarismo", de Hannah Arendt.
O discurso nazi, de Hitler, a beber no sionista de Herzl, nada que não tivesse intuido, mas que aqui é bem dissecado. Toda a justificação do nazionalismo está no sionismo, na lógica do povo eleito (ário ou judeu), do espaço vital (os sudetas, etc, ou a Palestina, etc) a lógica religiosa do Estado (o nazismo é uma religião assim como o sionismo), e até o facto anedótico de haver judeus a apoiar o nazismo (até com cartazes "Expulsem-nos"). Nos livro de Arendt denuncia-se a lógica tribal (que é hoje a dos judeus ortodoxos e a das várias correntes islamicas, igualmente aceitáveis para o sionismo identitário!). Mas este capítulo é uma descoberta, a origem do Mein Kampf ser o discurso de Herzl, entre outros é indesmentível.
Hoje a comparação do sionismo ao nazismo é uma obviedade, eu velho judeu o afirmo.
Hoje foi mais um dia, com vista para o mar, de leituras.
No http://carmoeatrindade.blogspot.com/
refiro um sobre ruralidade, que lhe falta..., mas de interesse sobre toiros.
E de um ápice, deleitei-me com um livro manifesto de 100 páginas, li este de BHL.
Uma obra "magister" para os dias que vivemos e para podermos lutar contra o vírus da histeria mediática que nos atormenta e em que vivemos mais mergulhados que em qualquer outro:
Se poderem não vejam televisão, mesmo que não tenham L.S.D.
Uma obra notável, uma denúncia direita ao alvo, um pensamento em acção!
Enquanto leio o interessante, um pouco ficção cientifica, um pouco megalomania, um pouco mineirismo, e muitas boas ideias, tudo todavia muito dejá vu, enquanto leio o relatório de Costa Silva, acabo este sim um notável "relatório" que o C.S. deveria ter lido.....
para falaria com mais prospectividade dos cenários e sobretudo integrar mais nesses as alterações climáticas e as suas consequências na leitura global. E talvez não ignorasse a Rota da Seda, a Nova.
Já, penso que aqui, referi que Istambul é a cidade mais bonita do Universo, sendo Bruxelas a mais bela do Mundo, mas devo ter dado uma catrefa de outros epítetos a muitas, muitas outras.
Estive duas vezes, 15 dias nesta, e visitei-a prolongadamente, uma das vezes só ou com companhias ocasionais, embora estivesse convidado para uma conferência e alojado no Pera Palace, só assisti ao bocado em que tinha que intervir, a outra com um pequeno grupo de amigos e uma visita, mais ou menos guiada.
Das duas vezes estive em Santa Sofia, uma catedral, descritianizada, como tantas ou foram ou sinagogas e mesquitas (Santa Maria la Blanca em Toledo, que havia sido uma sinagoga, ou a Igreja Matriz de Mértola, que já fora mesquita, tal com a Sé de Lisboa), ou a magnifica Mesquita de Córdoba, totalmente profanada, como aliás Santa Sofia.
A única questão, que aliás com menos ruído se coloca em Cordoba, é se o estatuto laica que a integração em património Unesco a protege dos iconoclastas de outro sectarismo religioso.
No caso de Córdoba tal não tem sido conseguido e não vejo tanto bruaa sobre o tema. Acho lamentável.
Acho igualmente no que se refere a Santa Sofia. Tanto em Córdoba existem centenas de igrejas como em Istambul centenas de Mesquitas. Locais, museus dessas e da sua intersecção há poucos, muito, muito poucos até no mundo.
Mas o cristianismo católico ou o sunismo islâmico são propensos a lógicas inquistoriais e fanáticas.*
Hoje perde-se mais uma referência universal.
esta Santa Sófia em Istambul, igreja bizantina, depois Mesquita, depois Museu, novamente Mesquita.
esta a Mesquita de Córdoba, depois catedral, depois Museu, novamente Catedral.
Nada mais a dizer. Nada mais a dizer.
* Como aliás todas as seitas religiosas estabelecidas em lógicas de poder. Nenhuma escapa. Todas a mesma todas iguais.
Se não estivesse convencido da necessidade de
mudarmos o paradigma de desenvolvimento, de sairmos da tensão entre o
crescimento versus decréscimo, se não defendesse outra lógica e forma de
articular as relações entre as forças produtivas e as relações de produção, se
não fosse já um ecologista empedernido há 45 anos e soubesse que há muitas
formas de dizer cheese, este livro afastar-me-ia da militância social e
colocar-me-ia a milhas do pensamento positivo.
Tinha, talvez porque não era livro que
pensasse comprar, desafiado os meus amigos a ofertar-me este. Obrigado Carlos P.
Vale a pena a leitura, interessante para o
conflito com as minas, o lítio é abordado, com alguma ligeireza e
eco-colonialismo (incrível como não conseguem fugir a este, que até denunciam!).
Interessante, embora errada a referência ao sindicalismo (unions, que nos EUA
são um dos principais apoios de D. Trump), do qual esperam o.... , quando as novas
lutas sociais rompem com o velho leninismo e criam lógicas de poder diferentesdesse, (Capitalismo de Estado/Estado do
Capitalismo, em que continuamos mergulhados nos nossos dias China/Gaffas), e
sabemos que os novos movimentos sociais e inovadores saiem da ferrugem (hoje nos
States e noutros é do mais reaccionário e adepta de populismos) e são os sectores
da educação, saúde, cultura e outros terciários (em tempos chamada terceira
vaga....) que se posicionam para a ruptura (curiosamente enfrentando também o
poder de mediáticos ex companheiros).
De resto receitas que partilhamos, salvo que
para Manifestos nunca demos, e este tem travos amargos que sabemos, na lógica
do ou és por nós (e já conhecemos a história....) ou és....
Umas horas de leitura.
Agradável, mas não é
este o Green New Deal que precisamos (além de ser muito America the Best,
Again!) e não há uma palavra sobre uma das bases do futuro, a agricultura e a
floresta, e parece desligado do resto do mundo. Ao menos podiam ter ido à
janela.
Nada é o que parece tende a ser a nova realidade. O que ontem era certo hoje já foi improvável e amanhã já mudou, ou não, porque tudo pode voltar à estaca zero.
Pode ser que esteja a falar do covid, agora já nos anunciam com mutações (lá se vai a vacina para o lixo) ou de outra coisa qualquer. Mas nunca esquecerei uma frase de Bakunine "Era uma festa sem começo nem fim, passava por muita gente desconhecida ou conhecida, bebiamos, falávamos ou trocávamos olhares, nada passava tudo passava" de memória mas não sei se estou a inventar ou não, qual paradoxo de Zenão ou não.
Não sei, também, porquê a propósito deste boneco, picado do Diplo:
lembrei disto, como se fora um pensamento, à temperatura da sua própria destruição.
Entre Buonarroti e Rafael houve grandes disputas, ciúmes, invejas, que tem muitas histórias. Nesta Morte de Ananias, de Rafael aparece o David de Miguel Angelo, sem cabeça...
esta e muitas outras estórias no número do Descubrir El Arte que em posta abaixo menciono, que é uma revista de colecção, cheia (este número!) de motivos de grande júbilo.
Já esta está na mediana, mas encontro espectacular a publicação de uma banda desenhado, completa, do mais puro delírio proibicionista!, de resto o costume, notícias e artigos simpáticos.
Continuo imerso em revistas....
agora mais esta, do mês passado, sempre, mesmo com algumas notícias defuntas, com entrevistas e pequenas/grandes estórias de interesse, e que nos colocam ao corrente de tudo o que se vai passando no mundo canábico e também de pensamentos que saiem do mainstream e ajudam a criar mais pensamento.
E bonecos sempre de grande nível, esta com uma capa menos feliz.
E também, já li metade de mais um Claves, agora,o anterior já abordava quase todo (mais de 100 páginas em 192 consagradas ao corona, sendo de grande interesse os artigos sobre a relação entre o vírus e as liberdades individuais e públicas, tema de muito díficil gestão e sobre o qual temos, também, muito meditado e produzido pensamento.
É um número notável, talvez resultado da pandemia (há muito que não comprava este El Arte!) que descubro poderoso, imagens notáveis, e pequenas, grandes estórias e algumas descobertas ( a entre Rafael e Miguel Ângelo deliciosa).
Uma delícia! Já estas tenho assinatura e vou-me entreter esta semana.... a fumá-las.....
Umas capas notáveis!!!!!!!!!!!!!!!!!
Só agora, efeitos da possibilidade de ir a
Espanha, tenho comigo este número da Claves, como referido em post abaixo.
Os primeiros artigos sobre a imigração são
interessantes, mas muito enquadrados e focados em Espanha, se bem que alguns
tenha que ver connosco, nomeadamente as relações com o TEDH.
O “Bushido” fica pelo caminho, em busca do
zen....
A ficção conta-nos estórias engraçadas num
artigo culto e Rembrant é recuperado como grande figura da pintura, ou melhor é
descrito e referenciado.
A literatura comparada é um artigo
surpreendente, tal a quantidade de menções e autores, ligações e cruzamentos, brilhantes.
E chego a um artigo que vale os 8€ da revista,
sobre a prostituição, em que a posição, em cuja colaborei com um texto que está
publicado, da Amnistia Internacional é apoiada e desenvolvida: Legalização,
para que os direitos sejam para todos/as e o Estado Social esteja presente.
Seguem-se as críticas a 5 ou 6 livros de que
retive e não o deixarei cais no chão ao “Los Errantes” de Olga Tokarczuk.
Ainda artigos divulgadores sobre Clemenceau e
sobre um aspectos miserável da vida de Foucault (que contaminou muitos com
SIDA) um dos quais um professor meu, que também já morreu.
Que pena que entre nós não haja nenhuma
revista como esta. Foi uma leitura para o dia, que acompanhou esta: http://carmoeatrindade.blogspot.com/search/label/Quercus no meio da desolação que é a nossa imprensa.... só assim damos exercício aos neurónios e ao pensamento.
Só tive tempo para "folheá-la" mas gostei, e aqui a deixo para futuras consultas: https://www.politika.io/fr/passes-futurs
os 2 ou 3 artigos que li merecem os meus elogios.
Uma mão cheia de revistas, 4 Cañamo, 2 Claves, 1 Quercus e 1 Descubrir el Arte, 2 livros de absoluta referência e um almoço com um querido amigo, abastecimento de produtos de consumo, sobretudo da América Latina (cigarrilhas e charutos), uma ida ao Mercadona onde há produtos de excelência e tenho leituras para, talvez duas semanas....
começarei por aqui:
tenho deixado esta ao abandono desde o final do no passado, mas não resisti à capa!
Já a Quercus só falhei as de Abril, Maio e Junho, meses da absurda proibição de idas a Espanha, este vai compensar:
Já os Cañamos, aqui trarei noutro post e a Claves são assinaturas, irei começar por esta:
Trago hoje aqui o Quebra-nozes, nome deste fantástico burranco, de Miranda:
não, não é um peluche!
Visitar, agora que já podemos, as lindas terras de Miranda e o solar do burros, em Atenor, é um desafio.
E apoiar a: https://www.aepga.pt
uma boa acção!